2024-11-11 16:46:38 - Depuis la victoire de Donald Trump, les recherches Internet pour quitter les États-Unis ont explosé. Médard Ntep, Président d'Afrique Monde, vous donne un bon conseil : Évitez l'Afrique Francophone, ( hormis le Burkina Faso, le Mali et le Niger) le reste des pays francophone de la françafrique sont des poubelles invivables pour des gens épris de liberté et de justice. Surtout les pays où les dictateurs restent plus de 14 ans au pouvoir,Avec leurs progénitures comme futurs remplaçants.Évitez surtout les mouroirs médicaux, les pays sans routes ni eau, avec des délestages électriques.Évitez l'Afrique qui n'a pas sa propre monnaie.
Ils ne veulent pas de Donald Trump. Si les urnes ont parlé le 6 novembre dernier et que plus de la moitié des votants Américains ont exprimé leur souhait de voir le candidat républicain rempiler pour un second mandat, d’autres cherchent une échappatoire en se renseignant sur les démarches à suivre pour déménager et quitter les États-Unis, rapporte Reuters.
En effet, les recherches Google pour « déménager au Canada » ont bondi de 1 270 % dans les 24 heures qui ont suivi la clôture des bureaux de vote sur la côte est des États-Unis mardi. Les recherches similaires pour déménager en Nouvelle-Zélande ont grimpé de près de 2 000 %, tandis que celles pour l’Australie ont bondi de 820 %, selon les données du géant américain de l’informatique. Les recherches Google sur l’émigration ont atteint des sommets historiques pour ces trois pays, affirme un responsable de Google.
En plus des nombreuses recherches effectuées sur le célèbre moteur de recherche, ce sont les portails de l’immigration de ces pays qui ont observé une augmentation considérable du nombre de visites sur leur site. Les données du site Internet « Immigration New Zealand » ont montré que le site avait enregistré quelque 25 000 nouveaux utilisateurs américains le 7 novembre, soit au lendemain de l’annonce de la victoire de Donald Trump, contre à peine 1 500 la veille de l’élection et lors du même jour en 2023.
« Les gens ont peur de perdre leurs libertés »
« Toutes les demi-heures, il y a une nouvelle demande par courrier électronique », a déclaré Evan Green, associé directeur de Green and Spiegel, le plus ancien cabinet d’avocats spécialisé en droit de l’immigration au Canada. « Trump est évidemment responsable de cet élan, mais c’est aussi un facteur sociétal. La majorité des Américains ont voté pour lui et certaines personnes ne se sentent plus forcément à l’aise dans ce genre de société. Les gens ont peur de perdre leurs libertés », a déclaré Evan Green.
Après la première élection de Donald Trump en 2016, un enthousiasme soudain pour l’expatriation avait également été observé de l’autre côté de l’Atlantique.
Article de Maxime Poul - Le Parisien/Photo:ANDREW HARNIK
Titre et Chapô: AM
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